lundi 31 janvier 2011

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vendredi 28 janvier 2011

Report de l'entrée en vigueur de l'accord de pêche entre le Maroc et l'Europe




crédits : Mer & Marine - Eric Houri

Au terme de longues et difficiles négociations, Bruxelles et Rabat ont signé en juillet dernier un accord sur le retour des pêcheurs européens dans les eaux marocaines. Le texte, qui devait entrer en vigueur le mois prochain, ne le sera finalement pas avant mai : « En raison des délais nécessaires pour les procédures de ratification de l'accord, la date du 1er mars 2006 ne pouvant être respectée, les deux parties se sont engagées à oeuvrer pour permettre son entrée en vigueur », explique le ministère marocain de la Pêche. Les représentants des deux parties se sont retrouvés la semaine dernière à Rabat, pour étudier les modalités de mise en place de l'accord. 
Celui-ci couvre une période de quatre ans, pendant laquelle 119 navires européens, essentiellement espagnols et portugais, pourront pêcher jusqu'à 60.000 tonnes de poisson par an. En contrepartie, l'Union Européenne versera 144 millions d'euros. Cette enveloppe devrait servir à financer un plan de restructuration de la pêche traditionnelle marocaine. En 1999, le royaume n'avait pas renouvelé le précédent accord de pêche, estimant que ses ressources halieutiques étaient pillées. Jusqu'à cette date, près de 600 chalutiers européens venaient déployer leurs filets dans les eaux territoriales marocaines. Les aides financières consenties par Bruxelles étaient alors de 125 M€ par an.

mardi 25 janvier 2011

Morocco's investment opportunities showcased in Bombay

Bombay - Industry, Trade and New Technologies Minister Ahmed Réda Chami highlighted on Monday in Bombay (India) investment opportunities offered in Morocco's strategic sectors.
    Speaking at a meeting attended by Indian investors and economic operators, Chami showcased the attractiveness of Morocco as a privileged destination for investments thanks its healthy business climate, legislative measures, competitiveness and transparency.

    In this respect, Chami provided details on Morocco’s efforts to attract more foreign direct investment (FDI) notably through the enactment of a competition law, the setting up  of a ministrial commission on investments, the establishment of regional investment centers and the creation of the Moroccan Agency for investments’ promotion (AMDI).

    He said Morocco launched sweeping reforms in institutional and legal fields governing economic activity with a view to facilitate commercial transaction and spur more FDI

    The meeting was also an opportunity to highlight some mega-projects launched to reinforce Morocco’s infrastructure such as the Tangier-Med port, the extension of the High-way network, the building of a High Speed Train between Tangier and Casablanca, worth some 20 billion dirhams, in addition to tourism projects part of the 2020 vision.

    Chami recalled that Morocco’s reforms during the last decade yielded promising results in the economic field as mirrored in the maintain of inflation rates at acceptable levels and the reduction of budget deficit and unemployment rates as well as posting growth rates reaching 5%.

    The Minister invited Indian investors who aim at having access to European and African markets to invest in Morocco and take advantage of its investment opportunities, proximity from Europe, and the free trade agreements that the kingdom signed with the USA and Arab and Mediterranean countries, in addition to the Advanced Status enjoyed by the Kingdom in its relations with the EU.

    Touching on the human element, he said Morocco boasts a qualified working force that represents an asset for the national economy.

Source : http://www.map.ma

samedi 22 janvier 2011

Analyse du marché du 19/01/2011

Toujours pas de signes de reprise à la Bourse de Casablanca à l’issue de cette troisième séance hebdomadaire. Dans des proportions parfaitement similaires, le MASI et le MADEX perdent chacun 0,44% à 10 621,32 points et à 12 987,87 points respectivement. Pour sa part, le BCEI 20 recule de 0,45% à 1 354,43 points. De facto, leurs gains year-to-date se réduisent à +2,63% pour l’indice de toutes les valeurs cotées, à +2,77% pour ce lui des Blue Chips et à +2,20% pour le benchmark de BMCE Capital.

Dans ces conditions, la valorisation globale du marché se contracte de plus de MAD 2,0 Md par rapport à la veille pour se fixer à MAD 593,9 Md. Inerte aux transactions, le Comparativement de Gré à Gré cède la place au Marché Central qui brasse l’intégralité du faible flux transactionnel, soit M MAD 58,5 seulement. Ce dernier est accaparé à hauteur de 42,5% par les échanges sur les valeurs LAFARGE CIMENTS, ADDOHA et ATTIJARIWAFA BANK, lesquelles drainent des volumes respectifs de M MAD 9,6, de M MAD 9,2 et de M MAD 6,1.
BMCE Capital Bourse

FINANCES PUBLIQUES : Des dépenses de compensation de MAD 25,9 Md à fin novembre 2010

Fait : Chiffres de la DEPF sur les dépenses de compensation à fin novembre 2010.

Analyse : Au cours des onze premiers mois de 2010, les dépenses de la Caisse de Compensation ressortent à MAD 25,9 Md (vs. MAD 14 Md seulement prévus dans le cadre de la Loi de Finances 2010, accaparant ainsi 17,6% du budget ordinaire et creusant le déficit budgétaire à MAD 30,1 Md, contre MAD 3,2 Md à fin novembre 2009.

Hors dépenses de compensation, les dépenses ordinaires de l’Etat augmentent de 1,6%. Cette situation est imputable à la forte hausse des cours de pétrole à l’international. En effet, les importations de pétrole brut se chiffrent MAD 22,1 Md, en progression de 51,1% et ce, compte tenu d’un prix moyen de la tonne importée de MAD 4 733, en alourdissement de 35,5%.

Conclusion :
Choix cornélien pour le Gouvernement marocain qui cherche à réformer le budget dans un contexte de forte hausse des cours de pétrole et des matières premières notamment agricoles, pouvant fragiliser davantage le pouvoir d’achat des ménages.
BMCE Capital Bourse

RADEEF : Une enveloppe d’investissement de MAD 1,5 Md sur les 5 prochaines années

Fait : Publication des réalisations 2010 et du plan stratégique 2011-2015.

Analyse : En 2010, la REGIE AUTONOME INTERCOMMUNALE DE DISTRIBUTION D’EAU ET D’ELECTRICITE DE FES –RADEEF- a réalisé d’importants projets dans le cadre de ses différentes lignes de métier notamment :
  • • Le démarrage des travaux de réalisation de la station d’épuration des eaux usées –STEP- de la ville de Fès, dont le coût s’élève à MAD 1,08 Md ; 
  • • La rénovation des réservoirs de 2 500 m3 route de Sefrou, 7 500 m3 Nord et 2 000 m3 à Sefrou ;
  • • Le lancement des travaux de pose de la conduite DN 800 et du réservoir de 10 000 m3 ; 
  • • Et, la réhabilitation des réseaux d’assainissement secondaires et tertiaires dans divers secteur de la ville.
Pour sa part, le plan stratégique 2011-2015 représente une enveloppe d’investissement de MAD 1,5 Md dont M MAD 582 prévus en 2011 ventilés comme suit : M MAD 85 pour l’électricité, M MAD 134 pour l’eau potable et M MAD 363 pour l’assainissement liquide.

Conclusion :
Distributeur d’eau et d’électricité à Fès, RADEEF poursuit ses efforts d’investissement pour mettre à niveau et accroître les capacités de son réseau.
BMCE Capital Bourse

vendredi 21 janvier 2011

Tanger-Med Projet Tanger Med Port


Développement : Tanger-Med, un «projet spectaculaire» 

Le port de Tanger-Med, «fruit de la volonté exemplaire de S.M. le Roi Mohammed VI de développer la région Nord du Maroc», est «un projet spectaculaire vraiment magnifique», estime la secrétaire d'Etat française au Commerce extérieur, Anne-Marie Idrac. 

«Tanger-Med est l'un de ces grands projets que j'ai souhaité visiter, dans une optique de co-développement franco-marocain, et méditerranéen», écrit-elle dans son blog personnel à son retour d'une visite au Maroc, en février. 

Pour elle, «le choix fait pour l'aménagement de ce site, c'est non seulement des investissements énormes, mais d'emblée un très haut niveau technique et d'efficacité, aux meilleurs standards mondiaux». 

«Tanger-Med a vocation à devenir le premier port d'Afrique d'ici quelques années et les autorités marocaines se sont indéniablement donné les moyens de leur ambition, sans la réduire, malgré la crise», ajoute-elle, soulignant que «l'implication de grandes entreprises françaises dans ce projet est essentielle». 

Outre les groupes français Bouygues construction, CMA-CGM, et le groupe SNCF, pour le port lui-même, et Renault, pour la partie développement industriel, la ministre fait état de 400 entreprises installées dans la zone franche de Tanger, en majorité des PME, dont près de la moitié (170) sont françaises. 

Selon la ministre française, «le défi de Tanger-Med n'est pas seulement celui du Maroc, c'est également un défi pour l'Europe-le type même de réalisation qui donnent corps à notre ambition d'Union Pour la Méditerranée, avec en particulier des liens privilégiés à créer avec le port de Marseille». 

Mme Idrac a, par ailleurs, qualifié d'«exemplaire» la relation économique entre les deux pays. «Premier fournisseur, premier client, premier contributeur pour l'aide publique au développement, premier investisseur, première destination étrangère pour les étudiants marocains,... la France truste les premières places», s'est-elle félicitée, ajoutant que les quelques 1.200 implantations françaises représentent plus de 100.000 emplois au Maroc. 

«Cette situation est certes le fruit de l'Histoire, une histoire forte entre nos deux pays, confortée par l'excellente relation personnelle entre S.M. le Roi Mohammed VI et le Président français Nicolas Sarkozy», explique la secrétaire d'Etat. 

Mme Idrac a, ains, plaidé pour le développement de cette relation «originale» qu'il faut nourrir et l'enrichir à la faveur en particulier de grands projets, tels Les tramways de Rabat et de Casablanca, le futur TGV. 

Donnant raison aux autorités marocaines qui «souhaitent passer d'une simple relation client-fournisseur à de nouveaux partenariats», elle reconnu que «nous avons tout avantage, politiquement et économiquement, à considérer les pays du sud de la Méditerranée comme des alliés pour un développement conjoint, face à nos vrais concurrents communs que sont les pays émergents». 

Elle a, à ce titre, annoncé l'organisation, début mai prochain, d'une opération de promotion commune des entreprises françaises et marocaines en direction des pays de l'Afrique francophone. 


Source: Tanger-Med Projet Tanger Med Port